Etiez-vous scandilisé lorsque vous avez lu le titre de cette brochure? Votre première pensée a-t-elle été que les éditeurs de cette brochure embrassent une foi non- chrétienne ou qu’ils sont athées? Certainement, celui qui se déclare chrétien ne suggérerait jamais en toute conscience de NE PAS FÊTEZ une telle fête chrétienne importante, vous pourriez dire. Après tout, elle est la célébration de la naissance de notre Sauveur, Jésus-Christ! Ou, est-elle? Avez-vous jamais douté de la validité du Noël?
Le Noël est-il une fête bibliquement ordonnée? La Bible même mentionne-t-elle le Noël? D’où viennent-elles les origines du Noël et ses coutumes? Comment le Noël est-il devenu une fête chrétienne? Que les coutumes de Noël partagent-elles avec la naissance de Jésus-Christ? Et finalement, que Dieu dit-il au sujet de la célébration du Noël? Est-il important à Lui si nous fêtons le Noël? Approuve-t-Il de cela? Ou le condamne-t-Il? Les réponses pourraient vous étonner!
CÉLÉBRATIONS DE NOËL AVANT LE CHRIST
En fait, les origines de Noël et ses coutumes ne sont pas du tout secret. Chaque bonne encyclopédie, aussi bien que beaucoup d’autres publications, contiennent des informations au sujet des origines et des coutumes de Noël.
En 1994, le Readers Digest a publié un livre, intitulé, “Why in the World?” (C’est nous qui traduisons tout au long de cet article.) Commençant à la page 190, on pose la question, « Pourquoi fêtons-nous le Noël? » Les auteurs poursuivent : « Si la question est offensive ou la réponse semble évidente, continuons à lire … Une fête avec l’apparence de Noël, Sacaea, était célébrée des milliers d’années avant la naissance du Christ. En 2000 av. J-C, en ce qui est maintenant Irak, une fête de cinq jours avec des échanges de cadeaux, des représentations, accompagnée des processions et des réjouissances, marquée la mort de l’hiver et annoncée le Nouvel An … Il est probable que ces croyances de l’Orient a répandues en Europe centrale … Au cœur de l’hiver, par exemple, les gens allumaient les feux dans l’espoir de rendre à la vie le soleil mourant et d’apporter la chaleur à la terre. En outre, ils décoraient leurs maisons avec des plantes à feuilles persistantes – le houx et les sapins – pour montrer les graines dormantes et les plantes sans vie que tout n’était pas mort. Lorsque le soleil a finalement brillé encore, ils réjouissaient à leur succès et sans doute voués à répéter toujours la magie.
«Plus loin au nord, le long de la Baltique et en Scandinavie, une fête d’hiver connue comme Noël a honoré les dieux Odin et Thor. Grandes bûches étaient en flammes, les ménestrels chantaient, des légendes célèbres étaient racontées, et les paysans buvaient à l’excès des cornes du hydromel. »
Dans ce contexte, l’Encyclopedia Britannica (1910-11), 11ème édition, Vol. 6, page 294, précise qu’ « en Grande-Bretagne le 25 décembre était une fête longtemps avant la conversion au christianisme … Les anciens de l’Angli ont commencé l’année le 25 décembre … »
Poursuivons du Reader’s Digest “Why in the World?”, page 190 : « Dans l’Empire romain, une orgie de huit jours du festoiement et de la débauche, les Saturnales, avait lieu à mi-décembre, lorsque le soleil approchait son plus bas. Le solstice d’hiver – le tournant de l’année, lorsque la durée du jour a commencé à s’allonger – était marqué par un jour sacré appelé Dies Natalis Invicti Solis(“l’anniversaire du Soleil Invincible”). Pendant les Saturnales, les Romains ornaient leurs maisons des lauriers et de la verdure; les amis ont échangés des cadeaux … Il était une saison de réjouissance, avec la bonne volonté aux hommes.
“Les Perses, également, allumaient des brasiers au solstice d’hiver. Leur fête a rendu hommage à Mithra, le dieu de la lumière et le protecteur contre le mal. Les soldats et les commerçants ont répandu le culte de Mithra en Europe, où pendant un certain temps la croyance a rivalisé le christianisme. [ Plus tard dans cette brochure, nous discuterons le culte de ce dieu perse Mithra, aussi bien que d’autres dieux païens, de plus amples détails. ]
DIFFÉRENTES DATES POUR NOËL ONT PROPOSÉ
“Aucune date précise n’est connue pour la naissance du Christ, mais il est certain qu’Il naquit tard vers la fin de la règne de Hérode le Grand, roi de Judée jusqu’a sa mort en ce que nous appelons 4 av. J-C. Pendant des siècles après sa mort, on a proposé plusieurs dates, à partir d’avril à décembre, pour la célébration du Noël. Le 6 janvier, cru de marquer le baptême du Christ, était généralement célébré comme le jour de Noël, et est toujours fêté dans quelques pays par des chrétiens orthodoxes …
« Avec le temps, les chrétiens presque partout ont accepté le 25 décembre comme le jour de Noël, une date coïncidant approximativement avec des célébrations du solstice d’hiver, du Noël et des Saturnales … »
PREMIERS CHRÉTIENS N’ONT PAS FÊTÉ LE NOËL
Poursuivons dans Encyclopedia Britannica (1910-11), 11ème édition, Vol. 6, page 293 : « Vers l’an 245 apr. J-C., ÉÉOrigène […] repoussa l’idée pécheresse de l’observance de la naissance du Christ comme s’il était un roi Pharaon. »
D’autres premiers écrivains chrétiens ont également désapprouvé des célébrations de Noël. Nous lisons dans le Protestant Church Lexicon, 1959, Vol. 3, page 1742 :
« L’église à l’époque des martyrs repoussa avec dédain une telle célébration d’anniversaire, désignant les célébrations d’anniversaire païennes et leurs cultes. »
Tom Flynn écrit dans “The Trouble with Christmas,” page 42 : « [S]i vous vouliez rechercher le monde de Nouveau Testament pour des gens qui ont attaché l’importance aux anniversaires, votre recherche serait retracé aux païens. Les Romains célébraient les anniversaires des Césars, et la plupart des religions méditerranéennes non-chrétiennes ont attaché l’importance aux fêtes natales d’un panthéon des figures surnaturales. »
Nous lisons dans Religion in Geschichte und Gegenwart, Vol. 3 : « La célébration du Noël le 25 décembre dans l’église ne commence qu’au milieu du 4ème siècle. Jusqu’à ce temps-là, l’opposition contre elle était dans certains cas très sévère (Origène, Arnobius, Clément d’Alexandrie, Epiphanius), car on l’a considérée une coutume païenne pour célébrer les anniversaires des rois avec des festivités. »
Le Catholic Encyclopedia (1914), Vol. 3, p. 724, ajoute le suivant : « Le Noël n’était pas parmi les premières fêtes de l’église. Irenaeus et Tertullian l’omettent des listes de fêtes; Origène […] affirme […] que dans les Écritures les pécheurs mêmes, non pas des saints, célèbrent leurs anniversaires. »
Un article récent intitulé, “In Search of Christmas,” publié dans le U.S. News & World Report, le 23 décembre, 1996, p. 56, énonce : « Les premières célébrations de la Nativité ont eu lieu étonnamment tard. Il n’y a aucune évidence d’une célébration officielle de la naissance du Christ jusqu’au 4ème siècle […] Le père de l’église de 3ème siècle Origène l’a déclaré un péché pour penser même de fêter l’anniversaire du Christ […] Le Nouveau Testament ne mentionne nulle part que les chrétiens se sont rassemblés pour commémorer la naissance de Jésus […] »
Poursuivons la citation de Reader’s Digest “Why in the World?” page 190 : « En Angleterre après la guerre de Sécession, Oliver Cromwell et les puritains ont proscrit les célébrations de Noël comme païennes […] La même situation avait régné dans le Nouveau Monde depuis 1621, lorsqu’une loi passé par gouverneur Bradford de la colonie de Plymouth a interdit l’observance de Noël[…] »
Dans une entrevue télévisée en 1991, savant britannique et professeur J.M.Golby, le co-auteur du livre, “The Making of Modern Christmas” a présenté aussi bien ses observations que certains réformateurs protestants ont condamné la célébration de Noël, et pourquoi ils ont fait ainsi. Il a précisé que « Calvin et Knox étaient infiniment contre le Noël pour de diverses raisons, une d’elles étant qu’ […] il n’est pas mentionné dans les évangiles, ainsi pourquoi célébrer le Noël? Deuxièmement, au 17ème siècle et la Réforme, l’association entière de Noël avec l’Église catholique – de la splendeur et de la cérémonie et des fêtes et ainsi de suite – étaient l’anathème. Ainsi c’est une autre raison pourquoi Noël était condamné par les hommes comme Knox […] »
Aux Etats-Unis, les célébrations de Noël sont devenues « aussi variées que les gens qui étaient venus à la Nouvelle Terre. En général, les catholiques, l’épiscopaux, les Luthériens et les colons hollandais ont réjouit, dans l’église et dehors, alors que les baptistes, les presbytériens et les quakers aient eu tendance à éviter toute l’observance de la fête. » (Directeurs de Life, “The Pageantry of Christmas,” p. 60).
Un récit écrit dans le New York Times le 26 décembre, 1855, raconte : « Les églises des presbytériens, des baptistes et des méthodistes n’étaient pas ouvertes le 25 décembre sauf où quelques écoles de mission ont eu une célébration. Ils n’acceptent pas le jour comme saint, mais toutes les églises épiscopales, catholiques et allemandes étaient ouvertes. »
ORIGINE PAÏENNE DES COUTUMES DE NOËL
Comme nous savons, Noël est étroitement associé aux diverses coutumes. Examinons en détail des origines des coutumes de Noël les plus populaires.
CHANTS DE NOËL
En ce qui concerne des chants de Noël, la publication de Reader’s Digest “Why in the World?”, page 192, dit : « Les premières chansons de Noël, écrites en latin et solennel en tonalité, étaient probablement composées au quatrième siècle, lorsque l’église de Rome institua la fête en tant qu’un jour férié. Mais les chants remontent à l’époque païenne. Les Grecs les employaient dans les pièces, et les Romains les chantaient pendant les Saturnales […] Pendant des siècles, l’église a interdit les chants en raison de leurs associations païennes. »
CADEAUX DE NOËL
Une autre coutume populaire associée à Noël est l’échange de cadeaux. On prétend que cette coutume a son origine de l’exemple biblique des mages ou des sages, offrant des cadeaux à l’enfantJésus. Cependant, le Reader’s Digest précise le suivant dans “Why in the World?,” page 194 : « Les Romains ont offert des cadeaux aux Saturnales […] Comme tant d’autres traditions saisonnières, il est difficile de dire si des cadeaux de Noël aient une origine païenne ou chrétienne. »
Mais il n’est pas vraiment si difficile de voir que cette coutume a une origine païenne. Par exemple, l’Encyclopedia of Religion, 1987 édition, sous la rubrique de “Christmas” montre l’association d’échanger des cadeaux aux coutumes païennes, où elle énonce : « L’échange des cadeaux à Noël a son origine probablement à la coutume romaine païenne d’échanger des cadeaux (strenae) au Nouvel An. »
La Bibliotheca Sacra, Vol. 12, pp. 153-155, dit la même chose : « L’échange des cadeaux entre les amis est comme la caractéristique de Noël et des Saturnales, et doit avoir été adopté par des chrétiens des païens, comme l’admonition de Tertullian nous montre clairement. »
Mais que pensez-vous de l’idée que la coutume d’échanger des cadeaux à Noël a été dérivée du fait biblique que les mages ont offert des cadeaux au Christ? Franchement, il n’y a aucune association ou lien. Les mages ou les sages cherchaient le “roi des Juifs.” Et en approchant le Christ comme roi, ils ont suivi la coutume orientale de Lui apporter des cadeaux. Ils n’ont pas échangé des cadeaux parmi eux-mêmes. Il est intéressant également à l’analyser le genre des cadeaux qu’ils ont offert à Jésus.
Das Beste, une publication de Reader’s Digest publié un livre en 1990 intitulé, “Wunder und Rätsel der Heiligen Schrift.” Ils précisent (page 278) : « Pendant un de ses sermons, le moine Elfric écrit au 10ème siècle, L’or s’appartient à un roi; l’encens s’appartient aux services; et la myrrhe est utilisé pour les corps morts, afin qu’ils puissent être préserver plus longtemps. Les […] rois mages adoraient le Christ et Lui ont amené des cadeaux symboliques. L’or Le représentait être un vrai roi [voir Apocalypse 19:16]; l’encens Le représentait être le vrai Dieu [et notre Souverain Sacrificateur, voir Hébreux 4:14-15]; et la myrrhe représentait le fait qu’Il pourrait mourir, mais qu’Il est actuellement immortel pour l’éternité. »
Nous devons également remarquer que les mages ne sont pas rendu visite au Christ accompagnés des bergers la même nuit que le Christ est né. Plutôt, ils sont rendu visite Joseph, Marie et l’enfant Jésus longtemps après la naissance de Jésus. Ils n’ont apparu à Jérusalem qu’après Jésus est né à Bethléhem (Matthieu 2:1). Lorsque les mages sont arrivés à Bethléhem, la famille vivait dans une maison (voir Matthieu 2:11) – plus longtemps dans l’écurie (Luc 2:6-7). A ce temps-là, Jésus n’était plus un nouveau-né ou un “bébé” (Luc 2:12, 16), mais un “jeune enfant.” (Matthieu 9,11,13-15). Hérode a ordonné la mort de tous les enfants males, « deux ans et au-dessous […] selon la date dont il s’était soigneusement enquis auprès des mages. » (Matthieu 2:16).
En aparté, les mages, ou des sages, sont mal représentés dans “l’histoire de Noël” aussi bien à d’autres égards. Un article paru dans la revue P.M. il y a des années, intitulé, “What do we know about the Three Holy Kings?” Il se disait :
« Qu’ils [ les mages ] sont devenus des rois, peuvent être attribués au théologien Tertullian (en l’an 160 jusqu’a l’an 220). Il a écrit, ‘à l’Orient, les mages étaient normalement des rois.’ Ainsi nous voyons à quelle vitesse les sages de la Bible sont devenus des rois […] Selon la tradition perse, ces mages étaient des descendants de l’ancien sacerdoce médian […] Dans l’évangile, on ne nous en dit pas combien. Les églises orientales parlent de douze mages.
« Jacob d’Edessa (640-708), un des anciens écrivains les plus importants de l’église des Jacobites, écrit : ‘Les mages étaient de Perse, mais ils n’étaient pas trois, comme dépeint par des artistes pour le peuple, comme dérivé des trois cadeaux de l’or, de la myrrhe et de l’encens, mais plutôt douze, comme peut être vu selon beaucoup de traditions. Ceux qui sont venus étaient des princes et des personnes bien-respectées du pays de Perse. Beaucoup de gens, plus que mille hommes, les accompagnaient, de sorte que Jérusalem soit devenue très passionnée lorsqu’ils sont arrivés.’ »
L’article specule également que le nombre des mages a été réduit à “trois,” non pas en raison de trois genres de cadeaux mentionnés, mais pour soutenir la trinité. Prétendument, les restes des “trois rois” se reposent aujourd’hui dans le dôme de Cologne en Allemagne. Cependant, le P.M. raconte que « les vêtements, dont les os sont enveloppés, étaient faits au deuxième ou troisième siècle après le Christ en Syrie.»
L’église chrétienne a “adopté” la coutume païenne d’échanger des cadeaux le 25 décembre et l’a incorporée à sa propre “foi,” en lui donnant un manteau “chrétien.” Cette coutume n’a pas été prise de la Bible ou de la visite des mages à Bethléem, et elle n’a eu rien à faire avec le fait que les mages avaient donnés des cadeaux au Christ.
PÈRE NOËL
Étroitement associé à l’échange des cadeaux à Noël est le personnage du Santa Claus (Père Noël), également appelé St. Nicholas. Un grand nombre de parents ont surpris leurs enfants en disant que c’était « ce vieil homme à barbe blanche et en costume rouge » qui ont secrètement placé des cadeaux sous l’arbre de Noël pendant qu’ils dormaient. Et les enfants innocents croyaient leurs parents, naturellement, jusqu’à ce qu’ils ont appris la vérité. Était-ce un mensonge « innocent »? Les enfants étaient élevés avec l’enseignement implicite que chaque mensonge n’est pas mauvais. Ainsi ils, à leur tour, adoptent cette façon de penser en leurs propres vies. Ou bien, ils ont commencé à se méfier de leurs parents dans d’autres domaines de la vie aussi bien.
Selon la légende, il y avait un prêtre catholique qui a prétendument donné des cadeaux aux enfants en décembre. Ce prêtre était censément l’évêque de Myra, et il était appelé « Nicholas. » On dit qu’il mourut le 6 décembre, 326 apr. J-C. C’est l’explication « officielle, » pourquoi « le jour de St. Nicholas” est célébré aujourd’hui le 6 décembre. Beaucoup d’historiens doutent, cependant, qu’il y ait n’importe quelle logique à cette légende. Ils doutent même si un tel prêtre ait jamais existé.
Un récit qui était publié sous pape Paul VI en 1969 soulève des doutes si Nicholas était un saint ou s’il n’était qu’un héros « légendaire, » s’il vivait même du tout. Depuis 1969, l’Église catholique a laissé le soin à ses adeptes de décider s’ils devraient adorer Nicholas en tant que saint ou non.
D’autre part, c’est un fait historique que les païens adoraient un dieu païen qui ressemblait beaucoup au Père Noël moderne. Cette déité païenne était le vieux dieu germanique « Wodan. » Il était appelé “Odin” en Scandinavie. Wodan ou Odin était un dieu-soleil. Selon la croyance païenne, il a donné sa vie pour le monde « en etant suspendu sur un arbre » ou une croix pendant neuf nuits, après quoi il a été « percé par une lance. »
Dans la légende scandinave, Odin [ ou Wodan ] est appelé « Tout-Père. » Il était regardé en tant que « dieu en chef dans une trinité païenne […] et cette trinité est devenue le créateur de l’homme.” (voir Earl W. Count, “4000 Years of Christmas,” 1948, p. 52). Dans des légendes germaniques, Wodan [ ou Odin ] avait un arbre saint, et lorsque quelqu’un est venu près de cet arbre le 25 décembre, il a trouvé des présents l’au-dessous. En outre, le jour de Wodan où il était adoré a été le 6 décembre. Wodan ou Odin est dépeint en tant qu’un vieil homme avec un grand chapeau, un manteau large, et une longue barbe grise, qui monte à cheval. Bien que le Père Noël moderne monte à traineau tiré par le renne, ce n’était pas toujours le cas. Selon la tradition, le Père Noël montait à cheval à l’origine.
Earl W. Count, B.D., Ph.D., professeur de l’anthropologie, raconte dans “4000 Years of Christmas,” pp. 11 et 54 : « Nous ne savons pas vraiment lorsque l’enfant Jésus […] est né; ou le moment et l’endroit où Noël a été célébré la première fois; ou exactement comment, aux cours des siècles, un évêque-saint de l’Asie mineur et un dieu païen des Allemands ont relié pour devenir le Père Noël[…] Ce qui nous intéresse la plupart, cependant, est le fait que Wodan [ ou Odin ] est devenu – le Père Noël [Santa Claus], ou, comme il est appelé plus commun, St. Nicholas. »
D’autres dieux païens pourraient avoir été responsables également pour former l’image moderne du Père Noël. Dans les temps anciens, une cheminée a servi d’entrée et de sortie normales des dieux du feu et des dieux solaire lorsqu’ils ont rendu visite aux maisons. Tous les ans, habillé en chapeau rouge foncé et pointu et veste rouge, les dieux-feux voyagaient des cieux éloignés aux maisons pour rendre visite et distribuer des faveurs ou des punitions. Il ne devrait pas être difficile de voir le lien entre les superstitions antiques au sujet des esprits de foyer et le personnage moderne du Père Noël utilisant la cheminée, avec les souliers et les bas suspendu à la cheminée.
D’où vient-il le nom “le Père Noël,” ou “Nicholas”? Dans Apocalypse 2:6, nous sommes présentés à la secte des Nicolaïtes qui enseignaient et pratiquaient des concepts et des doctrines faux. [ Ilsprêchaient particulièrement la hérésie de la « grace sans œuvres. » La Bible, d’autre part, explique très clairement que, bien que la « vie éternelle » nous soit offerte par la grace, comme don de Dieu, notre récompense sera nous donner « selon nos œuvres. » (Apocalypse 22:12). ] Nicolaus, le fondateur de la secte des Nicolaïtes, était un converti Gentil, mais il a plus tard tourné loin de sa conversion. Ce « Nicolaus » n’en est aucun autres que « Nicholas » ou « Père Noël. » En allemand, par exemple, les similitudes de ces deux noms sont plus frappant. « Nicolaus, » le fondateur des « Nicolaïtes, » est rendu en allemand comme « Nikolaus » – et le “Père Noël” en allemand est « Nikolaus » aussi bien.
Dans les légendes païennes, les esprits ou les dieux de l’eau étaient adorés comme « Nick » ou « Nickel. » Tous étaient adorés le 6 décembre. Les déesses de l’eau étaient appelées « Nixen »(l’expression allemande pour des sirènes). Dans ces légendes, le Père Noël ou St. Nicholas est accompagné d’un serviteur, appelé « Knecht Ruprecht. » L’ouvrage intitulé “The Pageantry of Christmas,” publié par les rédacteurs du journal Life, page 62, raconte : « Knecht Ruprecht, l’aide de St. Nicholas, […] était également capable de la punition comme il était de la récompense, et les cornes sur sa tête prouvent son origine diabolique […] Il était également connu en tant que “Pierre Noir.”
BOUGIES ET GÂTEAUX DE NOËL
Les bougies de Noël jouent un rôle extrêmement important dans la célébration de Noël. Mais pourquoi les gens allument-ils les bougies à Noël? Reader’s Digest’s “Why in the World,” page 195, raconte : « Les anciens, conscients des saisons changeantes, allumaient les feux pour encourager le retour du printemps. Les Romains, pendant les Saturnales, ornaient leurs maisons avec les bougies et la verdure […] Lorsque nous mettons des bougies ou des guirlandes lumineuses sur un arbre de Noël aujourd’hui, nous suivons des traditions de Rome antique. »
C’est également “la coutume” de confectionner des gâteaux au four à la période de Noël. Mais celle, aussi, est une coutume païenne que l’Église romaine a adoptée et a incorporée à son système de croyance. L’ouvrage Kalifornische Staatszeitung a publié un article dans l’édition du 21 décembre, 1984, intitulé, “Older Than Christmas,” page 25, déclarant : « La coutume à faire des gâteaux spéciaux à cette époque de l’année [ à Noël ] est plus ancienne que Noël elle-même. Les Egyptiens et les Romains sacrifiaient aux dieux à la fin de l’année des gâteaux spéciaux, aussi bien que ceux en forme d’animal et d’homme faisaient de la pâte ou le bicarbonate de soude. Presque les mêmes images symboliques peuvent être trouvées parmi les tribus germaniques qui demandaient à la déesse de fertilité, à ce moment-là, accompagnés des sacrifices de pain pour recevoir la bénédiction de la maison et du champ. Pendant des siècles, la superstition était préservée parmi les peuples que des gâteaux de Noël, formés extraordinairement, ont eu le pouvoir de provoquer la chance et la fortune. »
ARBRE DE NOËL
Peut-être la coutume de Noël la plus chère est l’arbre de Noël. L’arbre de Noël, un arbre à feuilles persistantes, était un objet païen de culte. Il démontre sur une grande échelle ses origines païennes et diaboliques et l’incorporation des coutumes païennes dans le christianisme orthodoxe.
D’abord, considérez cette citation de Reader’s Digest, “Why in the World?” Page 210, ils discutent la question pourquoi les gens touchent du bois pour la prétendue “bonne chance.” « La croyance que touchant du bois apaisera les esprits malfaisants est dérivée des périodes païennes, lorsque des arbres étaient jugés sacrés comme demeure des dieux. Ces dieux […] ont choisi quelques arbres pour être toujours vert, un signe d’immortalité. Touchant un arbre était une marque de respect aux dieux, une demande que la faveur soit accordée ou la remerciement d’une déjà donnée. »
Un de ces dieux païens qui vécut dans les arbres sacrés était Attis de Phrygia (discuté dans les moindres de détail plus tard dans cette brochure). Il était un dieu de végétation et l’un “esprit d’arbre.” James G. Frazer précise en son livre, “The Golden Bough,” pp. 298, 297 : « Le caractère original d’Attis comme esprit d’arbe est clairement dépeint par le rôle que le pin joue dans sa légende et son rite […] On dit qu’après sa mort Attis a changé en arbre de pin […] À l’équinoxe de printemps (le 22 mars) un arbre de pin a été coupé dans les bois et amené dans le sanctuaire de Cybele [ déesse de Phrygian ], où il était regardé comme divinité. Il était orné avec les bandes de laine et les guirlandes de violets, car on a dit que des violets jaillissent du sang d’Attis. »
Attis n’était pas le seul “esprit d’arbre.” Le dieu de l’Egypte, Osiris, était également un esprit d’arbre. Il était un dieu païen « dont la mort et la résurrection annuelles étaient célébrées dans les nationalités diverses. » (James G. Frazer, The Golden Bough, p. 301). M. Frazer précise également, page 309, que « dans les inscriptions, Osiris est appelé “celui dans l’arbre.” »
Ensuite, M. Frazer nous présente au dieu grec Dionysus ou Bacchus, le dieu de la vigne en forme d’un taureau. « Comme les autres dieux de la végétation […], on croyait que Dionysus soit mort violentement, mais soit rendu à la vie encore; et ses douleurs, sa mort, et sa résurrection s’étaient déroulés dans les rites sacrés. » (Frazer, p. 322). En plus d’être le dieu de la vigne, Dinoysus était « également un dieu des arbres en général. Ainsi on nous dit que presque tous les Grecs sacrifiaient à ‘Dionysus de l’arbre.’ À Boeotia un de ses titres était ‘Dionysus dans l’arbre.’ […] Parmi les arbres particulièrement sacrés à lui, en plus de la vigne, était l’arbre du pin. L’Oracle de Delphes a ordonné aux Corinthiens d’adorer un arbre du pin particulier ‘également avec le dieu.’ » (Frazer, pp 321-322).
On a pensé que l’arbre de pin était la demeure des dieux païens. En fait, les dieux païens ont censément changé en arbres de pin. En tant que tels, l’arbre de pin était orné avec des violets et traitait comme divinité ou déité – en fait, il était adoré en tant qu’un dieu. Les ressemblances entre la coutume moderne de décorer un arbre à feuilles persistants ou un arbre de pin comme arbre de Noël, et chantant devant lui, sont frappant. Et dire que ces pratiques ont ses origines dans le culte des dieux païens ou des démons est effrayante!
Ralph Woodrow a écrit dans “Babylon, Mystery Religion,” ed. 1981, page 152 :
« L’arbre de Noël […] récapitule l’idée du culte d’arbre […], les noisettes et boules dorés symbolisant le soleil […] Tous les festivités du solstice d’hiver étaient absorbées dans le jour de Noël […] L’arbre de Noël [ était absorbé ] de l’hommage rendu au sapin sacré d’Odin. »
COMMENT LES COUTUMES PAÏENNES SONT DEVENUES CHRÉTIENNES
Professeur Golby a fait des commentaires additionnels à la télévision en ce qui concerne l’incorporation des origines païennes de Noël et ses coutumes dans la religion “chrétienne” : « Les arbres de Noël sont à feuilles persistantes […] Évidemment ils font partie de vieux festivals païens […] Ce que je pense est étonnante au sujet de l’église chrétienne est sa manière dont elle pouvait assimiler des choses et les accepter, en fait, accepter les figures païennes, et les incorporer à l’église.
Francis Owen est d’accord. Il a énoncé dans son ouvrage, “The Germanic People, “ page 209 : « Beaucoup de croyances de cette ancienne religion germanique […] n’étaient que superficiellement modifiées par les enseignements de l’église chrétienne. Il est difficile de supprimer les vieilles croyances et coutumes.
C’est un fait historique que l’église chrétienne n’a pas supprimé des coutumes païennes de Noël, mais elle a plutôt embrassé et a incorporé les pratiques en leur donnant une signification “chrétienne.” Écoutez cette citation des éditeurs de Life, dans “The Pageantry of Christmas,” page 10 : « Les adeptes de Mithra, un dieu-solaire perse dont le culte a été apporté à Rome par le retour des legionnaires et l’est devenu le rival principal du christianisme, célébraient le 25 décembre comme Dies Solis Invicti Nati (“l’anniversaire du Soleil Invincible”). Les Romains eux-mêmes avait longtemps célébré la saison de solstice comme les Saturnales, honorant Saturne, le dieu de l’agriculture […] L’échange des cadeaux est devenu une partie importante des festivités [ des Saturnales ]. Ils étaient simples d’abord – bougies de cire ou poupées d’argile – mais ils se développaient lentement plus détaillés. Les chrétiens commencaient à absorber ces vieilles coutumes et les infuser par la signification chrétienne afin d’aider à répandre la foi. Beaucoup de pères d’église ont considéré la méthode dangereuse […]
« Mais la plupart des missionnaires chrétiennes qui sont déménagées en Europe centrale et occidentale pendant que l’empire romain tombait en ruines, suivaient le conseil de [ pape ] Grégoire le Grand. Il a écrit en 597 qu’ils ne devraient pas essayer de faire cesser des coutumes païennes ‘sur le soudain,’ mais les adaptent ‘à la louange de Dieu.’
Dans le nord, à la saison de Noël, les missionnaires ont trouvé les adeptes païens des dieux Woden et Thor luttant l’obscurité mauvaise d’hiver avec les feux énormes. En Europe centrale, ils ont trouvé la croyance que lors de la mort du vieux soleil, les sorcières et les démons ardents sont venus à la terre pour détruire la fertilité du Nouvel An, et pourraient être dissuadés par des cadeaux. En Grande-Bretagne, ils ont trouvé des druides rendrant hommage à la victoire des plantes vertes sur l’obscurité d’hiver. Les missionnaires, obéissant au conseil de Grégoire le Grand, n’ont fait aucun effort de ‘couper’ les ‘coutumes mauvaises.’ En conséquence, bon nombre d’entre eux survivent en tant que traditions de Noël chéries aujourd’hui. »
Beaucoup d’autres chercheurs et auteurs sont arrivés aux mêmes conclusions. Arthur Weigall a écrit dans “The Paganism in our Christianity,” page 209 : « La politique de l’église est adapter les vieux jours saints païens aux idées chrétiennes, et de ne pas les supprimer […] Les festivals que nous appelons Noël et Pâques sont païens, non pas chrétiens, d’origine. »
Earl W. Count raconte dans “4000 Years of Christmas,” pp. 25-27 : « [ Pendant les Saturnales, ] les entrées des Romains étaient ornées avec des rameaux de laurier et des arbres verts, avec les bougies allumées et avec des lampes – car les esprits planant de l’obscurité avaient peur de la lumière […] Aux chrétiens, les Saturnales étaient un abomination, en hommage à un dieu déshonorant [ Saturne ] qui n’a eu aucune existence de toute façon […] Les pères d’église ont découverts à leur alarme qu’ils étaient […] faire face à une invasion des coutumes païennes. L’habitude des Saturnales était trop forte pour laisser. D’abord l’église l’a interdite, mais en vain […] Si on n’interdirait pas les Saturnales, que le soit apprivoisé. Les pères d’église ont maintenant cherché à diriger le festival vers le soleil chrétien de la droiture […] L’église a finalement réussi à prendre la gaieté, la verdure, les lumières, et les cadeaux de Saturne et de les donner au bébé de Bethléem. »
Le journal, U.S. News & World Report, le 23 décembre, 1996, page 59, est d’accord :
« Selon l’opinion généralement répandue la fête était une ‘christianisation’ délibrée des Saturnales et d’autres festivals païennes […] Comme un historien a écrit : ‘Les Romains païens sont devenus chrétiens – mais les Saturnales sont restées.’ »
L’article dans le Reader’s Digest, “Why in the World?”, page 191, précise : « Dans le monde entier, l’Église en général a pris une position pragmatique. Incapable d’interdire les excès païens qui ont eu devenues une partie de la célébration, elle a essayé d’éliminer leurs traits indésirables, et a accueilli les rites remis à neuf dans la fête de Noël comme s’ils étaient sacrés. Les anciennes coutumes de Noël ont survécues, et les nouvelles étaient ajoutées. Noël est devenu, comme nous le savons aujourd’hui, un mélange magique de dévotion chrétienne et les plaisirs païens, un festival qui survit à la demande populaire. »
Oui, Noël et ses coutumes sont d’origine païen, non chrétien,. L’Église catholique, plutôt que les supprimer, leur ont donné une signification “chrétienne.” Mais cela ne les a pas rendues chrétiennes. L’édition de décembre 1981 du journal intitulé U.S. Catholic admet, page 32 : « Il est impossible de séparer Noël de ses origines païennes. »
Le U.S. News and World Report, le 23 décembre, 1996, page 60, raconte que les Puritains « étaient correctes lorsqu’ils ont précisé […] que Noël n’était rien mais qu’un festival païen couvert d’une apparence chrétienne. »
ÉGLISE DE ROME A ORDONNÉ DES CÉLÉBRATIONS DE NOËL
Comme nous avons vu, lorsque l’Église ne pouvait pas interdire des célébrations de Noël, les coutumes étaient données une signification “chrétienne” superficielle et, en tant que telles, étaient puis autorisées. Plus tard, cependant, elles étaient réellement ordonnées.
Religion in Geschichte und Gegenwart raconte dans sa troisième édition : « L’origine [ des célébrations chrétiennes ] de Noël doit être vue dans l’église de Rome. »
L’Encyclopedia Americana (1944), est d’accord : « Une fête était établie à la mémoire de cet événement [ la naissance de Jésus ] au quatrième siècle. Au cinquième siècle l’Église d’Occident l’a ordonnée être toujours célébrée le jour de la vieille fête romaine de la naissance du Sol, car aucune connaissance du jour de la naissance de Christ n’a existé. »
C’était l’Église catholique qui a ordonnée ses adeptes à célébrer les coutumes païennes de Noël pour démontrer la « victoire du Christ, le vrai soleil, au-dessus du culte païenne » du culte du soleil. (Religion dans Geschichte und Gegenwart).
Comme la San Diego Tribune précise, page 7, de son supplément de TV Week des 17-23 décembre, 2000, Noël « est allé d’être la fête du soleil levé à la fête du fils élevé. » Et ces dénominations non-Catholiques qui observent Noël aujourd’hui en tant qu’un festival chrétien n’en font pas ainsi conformément aux commandes bibliques, mais en obéissance à la direction de l’Église catholique.
CULTE DE DIEU PAÏEN MITHRA AUJOURD’HUI
Nous avons déjà touché au dieu perse Mithra à plusieurs occasions, et nous avons vu que le christianisme n’a pas supprimé des enseignements et des coutumes mithriaques, mais plutôt les ont incorporés. Nous voulons concentrer notre attention maintenant sur le culte païen de ce dieu perse Mithra, car il est fascinant à voir dans quelle mesure les enseignements et les coutumes mithriaques ont survécus dans le soi-disant christianisme moderne. La vérité est tout à fait étonnante!
Le journal allemand “P.M.” a publié un article il y a quelques années, intitulé, “Can You Imagine to Believe on Mithras?” Il a commencé comme ceci : « Un jour tôt au début de 180 de notre ère. Undimanche typique en ville de port d’Ostia devant les portes de Rome. Diverses parties de la ville étaient en émoi. Partout nous voyons des groupes d’hommes circulaient dans les quartiers étroits […] Mais personne ne les remarque […] Chacun sait où vont les hommes: C’est dimanche, le jour du soleil – les hommes vont aux services.
« Sont-ils chrétiens? Voyons-nous ici une scène typique dès le début de cette religion? Non – les hommes rendent un culte à un autre dieu. Mithra est le nom de cet être transcendant de qu’ils s’attendent au salut. Et tous les ans en hiver ils célèbrent son anniversaire: la nuit du 25 décembre avec une sorte de service que nous pourrions appeler aujourd’hui messe de minuit [… ]
« Le culte de Mithra influence toujours nos vies aujourd’hui […] Mithra était le dieu principal des légions romaines. En Allemagne seule, quarante reliques de Mithra étaient découvertes – douze d’entre elles à ou près de Francfort […] C’était l’empereur Constantin qui poussait le Conseil de Nice (qui est en Turquie aujourd’hui) en l’an de 325 à l’unir ses sujets selon une foi […] Bien que l’empereur lui-même ait appartenu au culte du soleil (il n’était que baptisé de la dernière heure), il a choisi le christianisme comme confession universelle pour tout les Romains. Afin de rendre la nouvelle religion acceptable pour les adeptes de Mithra, il a déclaré dimanche comme jour de repos commun pour tout son empire […]
« Une autre décision était encore censée pour se rapprocher des chrétiens et des adeptes de Mithra : On a déclaré l’anniversaire de Jésus le même jour ou Mithra était censément né (En l’an de 354, le 25 décembre est mentionné pour la première fois). Jusque-là, les chrétiens n’avaient pas célébré Noël. »
L’article a également démontré de nombreuses images et photographies. Au-dessous d’une, le suivant est énoncé : « Vers la fin du culte de Mithra, le Dieu triple apparaît […] Le lien qui existe avec la trinité chrétienne est évident. »
Ce qui est plus frappant est le fait que la Bible nulle part n’enseigne la trinité. Dieu est identifié en tant que comprenant de deux êtres – le Père et le Fils. Le Saint-Esprit n’est pas une personne ou le troisième être de la famille de Dieu, mais plutôt la puissance émanant de Dieu. Mais ici nous voyons comment ce concept non-biblique de la trinité a réussi à pénétrer le christianisme – par les systèmes païens de croyance tels que le système de croyance de Mithra, un culte qui était incorporé et, en même temps, “christianisé” par l’Église romaine.
La grande influence et impression que les concepts païens, comme enseignés dans le culte de Mithra, avaient sur le christianisme orthodoxe ne peuvent pas être sous-estimées et suraccentuées. Écoutez cette explication additionnelle de l’ouvrage par Esme Wynne-Tyson intitulé “Mithras, The Fellow in the Cap,” pp. 22 et 24 : « Dès le début, Mithra était assimilé au soleil et à la lumière […] En bref, il est un christ païen […] Mithra était non seulement le Dieu Soleil, mais le médiateur entre l’humanité et l’Être suprême […] Son anniversaire était célébré dans le calendrier de mithriaque le 25 décembre. Dimanche […] était consacré à lui, et connu comme jour du Seigneur longtemps avant l’ère chrétienne. Sa renaissance était commémorée à Pâques. »
Edward Carpentier a précisé dans “Pagan & Christian Creeds: Their Origin and Meaning,” 1921, p. 21 : « Mithra naquit dans une caverne, le 25 décembre. Il est né d’une Vierge […] Ses grandes fêtes étaient le solstice d’hiver et l’équinoxe de printemps (Noël et Pâques). Il a eu douze compagnons ou disciples (les douze mois). Il était enterré dans un tombeau, duquel cependant il est encore revenu à la vie; et sa résurrection était célébrée tous les ans avec de grandes réjouissances. Il était appelé Sauveur et Médiateur; et parfois représenté comme agneau. »
John M. Robertson a écrit dans “Pagan Christs, Studies in Comparative Hierology,” pp. 305, 306, et 327 : « Le premier jour de la semaine, dimanche, était apparemment de temps immémorial consacré à Mithra […] Nous avons des renseignements précis quant aux deux cérémonies ou fêtes mithriaque principaux, ceux de Noël et de Pâques […], l’anniversaire du Dieu Soleil et la période de son sacrifice et de son triomphe. Que Noël soit une fête solaire de l’antiquité inconnue dont les premiers chrétiens se sont attribuée à leur Christ […], n’est plus nié par les érudits chrétiens compétents […] La vérité est […] ce Mithraism n’était pas renversé; il était simplement transformé. Il était allé trop loin d’être renversé; la question était s’il devrait continuer à rivaliser le christianisme ou être absorbée par lui. »
Comme nous avons vu, il était absorbé. Et beaucoup, si pas la plupart de ses éléments, coutumes, et enseignements païens étaient aussi bien absorbées – donné un manteau “chrétien.” C’est pourquoi le monde chrétien orthodoxe célèbre le dimanche, bien que Dieu nous dise d’observer le jour du sabbat saint – la période du coucher du soleil vendredi au coucher du soleil samedi (voir Exode 20:8-11). (Pour en savoir plus à ce sujet, il vous suffit de nous demander pour notre brochure gratuite, intitulée, “Europe in Prophecy”).
Écoutez cette citation remarquable de H.G. Wells, auteur des romans fictifs tels que “The Time Machine,” et “The Invisible Man.” Il a aussi écrit, “The Outline of History,” précisant, page 543 : « Il semblerait que les chrétiens aient adoptés dimanche en tant que leur jour principal du culte au lieu du […] sabbat, du culte de mithriaque. »
Et en effet ils ont fait ainsi. Et à cause du culte de mithriaque et d’autres enseignements païennes, les fêtes annuelles païennes telles que Noël ou Pâques sont fêtés aujourd’hui. En même temps, le christianisme orthodoxe n’observe pas ces jours annuels saints que Dieu a rendu saints – comme la Pâque, les Jours des Pains Sans Levain, la Pentecôte, la Fête des Trompettes, le Jour des Expiations, ou la Fête des Tabernacles (voir Lévitique 23). L’adaptation des enseignements mithriaques et d’autres païennes est la raison pourquoi des coutumes non-chrétiennes sont embrassées et crues en tant que doctrines “chrétiennes.”
Écoutez cette citation de Funk and Wagnall’s New Encyclopedia, Vol. 17, au sujet de “Mithraism” : « […] la culte de Mithra, l’ancien dieu perse de la lumière et de la sagesse […] Mithra est devenu le dieu solaire, qui était adoré à son nom […] C’était un grand rival au christianisme dans le monde romain […] Mithraism était semblable au [ prétendu ] christianisme à bien des égards, par exemple, en […] adoration des bergers à la naissance de Mithra, l’adoption des dimanches et du 25 décembre (l’anniversaire de Mithra) en tant que jours saints, et de la croyance de l’immortalité de l’âme. »
La Bible nulle part ne nous dit d’adorer les bergers. Ceux qui font cela aujourd’hui tout en reconstituant la scène de nativité, suivent réellement des adorateurs païens de Mithra. Ni la Bible n’enseigne que nous avons une âme immortelle. Tout à fait au contraire, Dieu nous dit que « l’âme qui pèche, c’est celle qui mourra. » (Ézéchiel 18:4, 20). Si nous nous repentons, puis nos âmes serons « sauvées de la mort » (Jacques 5:20). Plutôt que d’avoir une âme, immortelle ou non, l’homme est une âme (voir Genèse 2:7 : « l’homme devint un être vivant »). Et si l’homme pèche et ne pas s’en repentir, puis l’homme, l’âme, mourra la mort éternelle. Le concept, alors, que nous avons une âme immortelle ne vient pas de la Bible, mais du paganisme et des enseignements du culte de Mithra et d’autres dieux païens.
Que Mithraism ne soit pas mort, mais à la place, survécu dans le christianisme, peut également être vu de cette citation prise de Funk and Wagnall’s New Encyclopedia, Vol. 24, sous la rubrique “Sun Worship” : « En Perse antique le culte du soleil était une partie intégrale du culte complexe de Mithra […] Le culte du soleil a persisté en Europe même après l’introduction du christianisme, comme démontré par sa survie déguisée dans des pratiques chrétiennes traditionnelles comme le feu de Pâques et le brûlé du bûche du Noël. »
Que Mithraism ait été la religion nationale de Perse et l’une force dominante dans les temps anciens a fait allusion à la Bible aussi bien. Dans Esdras 1:8 et 4:7 nous lisons au sujet du trésorier perse “Mitredath.” Ce mot signifie littéralement, “don de Mitra.” Des personnes importantes étaient réellement données le nom de ce dieu perse.
CULTE DU DIEU PAÏEN ATTIS AUJOURD’HUI
Bien que le culte de Mithra ait eu une grande influence sur le christianisme, le culte de Mithra était nullement la seule religion païenne qui a réussie à pénétrer dans le christianisme. Comme nous avons déjà vu, le culte païen d’autres dieux tels que Saturne, Thor, Wodan ou Odin étaient aussi absorbés. Et ainsi étaient les éléments du culte d’Attis, un dieu à Phrygia. Nous lisons dans Woman’s Encyclopedia of Myths and Secrets au sujet d’Attis :
« Le culte d’Attis a fortement influencé le début du christianisme […] Attis était un fils de la déesse incarnée, la vierge Nana, qui le conçut miraculeuxment en mangeant une amande ou une grenade […] Il est devenu une victime du sacrifice et Sauveur, tué pour apporter le salut à l’humanité. Son corps était mangé par ses adorateurs sous forme de pain. Il a été ressuscité en tant que “Dieu le Très-Haut” […] La passion d’Attis était célébrée le 25 mars [ d’autres sources disent le 22 mars ], exactement neuf mois avant la fête de sa naissance, le 25 décembre […] Le jour de la mort d’Attis était Vendredi Noir […] Le dieu est mort et a été enterré. Il est descendu dans les enfers. Le troisième jour il a ressuscité des morts […] C’était le dimanche; le dieu s’est levé dans la gloire […] Les chrétiens célébraient à partir de ce jour le dimanche de Pâques avec des cortèges de carnaval dérivés des mystères d’Attis. »
Michael Jordan écrit au sujet d’Attis dans “Encyclopedia of God.” Il précise : « À l’ère chrétienne la fête de Pâques a remplacé la date des rites d’Attis. » Avez-vous jamais réfléchi pourquoi le monde chrétien fête Pâques, affirmant que le Christ a été crucifié un vendredi et ressuscité un dimanche? La Bible nulle part ne mentionne Pâques. La Bible nulle part ne déclare que le Christ a été tué un vendredi et qu’Il a été ressuscité un dimanche. En fait, il ne pourrait pas avoir été, car il devait être mort dans le tombeau pendant trois jours et trois nuits, de même que Jonas fut dans le ventre du monstre de mer (Matthieu 12:40). Vous ne pouvez pas compter trois jours et trois nuits du vendredi après-midi au dimanche matin. L’histoire et la Bible prouvent que le Christ a été réellement crucifié mercredi après-midi et qu’Il a été ressuscité samedi avant le coucher du soleil. Mais comme nous venons de lire, des dieux païens tels qu’Attis ont été prétendument tués un vendredi et ressuscités un dimanche. Et ainsi ces coutumes païennes étaient incorporées aux doctrines et pratiques de l’Église romaine en remplaçant les dieux païens comme Attis par le Christ et en leur donnant un manteau “chrétien.”
SATAN—L’AUTEUR D’UN MYTHE UNIVERSEL
Il devrait être évident que toutes ces légendes similaires incorporant différents dieux païens et des coutumes et des rites, fassent partie d’un “mythe universel,” comme John M. Robertson l’a écrit (“Pagan Christs,” p. 307).
En outre, Edward Carpenter a écrit dans “Pagan & Christian Creeds,” commençant page 25 : « La ressemblance entre ces légendes et ces croyances anciennes et les traditions chrétiennes était en effet si grande qu’elle ait provoqué l’attention et la colère non-guisée des premiers pères d’église. Ils n’ont eu aucun doute [ et ont conclu ] au sujet de la ressemblance […] que le diable – afin de confondre les chrétiens – avait, des siècles avant, fait faire les païens d’adopter certaines croyances et pratiques […] Justin Martyr, par exemple, décrit l’établissement de l’Eucharistie [ prétendu ] comme raconté dans les Évangiles, et puis poursuit à dire, ‘Ce que les diables méchants ont imité dans les mystères de Mithra [ et nous pourrions ajouter Attis aussi bien ], ordonnant la même chose d’être faite. Car, ce pain et une tasse de l’eau sont placés avec certaines incantations dans les rites mystiques de quelqu’un qui est en train d’être initié vous savez ou pouvez apprendre.’ Tertullian indique également que ‘le diable par les mystères de ses idoles imite même la partie principale des mystères divins.’ »
La Bible se réfère dans de nombreux endroits à tels d’imitations païennes diaboliques dont le Christ ferait, ou a fait. Par exemple, Ézéchiel 8:13-15 décrit le culte de “Thammuz” comme abomination. Selon la légende, Thammuz, ou Adonis, naquit d’une vierge lors du solstice d’hiver et est tué par un sanglier. Chaque année les jeunes filles pleuraient pour lui. Au printemps une fête de sa résurrection avait lieu. (Carpenter, p. 22). Ce dieu païen Thammuz était un dieu summerian ou syrien de végétation, une contrefaçon païenne de Jésus-Christ.
Dans 1 Corinthiens 10:14-22, Paul se réfère aux rites païens tels de Mithra ou d’Attis. Paul les identifie avec l’idolâtrie et avertit les chrétiens de n’avoir rien à faire avec eux : « C’est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l’idolâtrie […] La coupe de bénédiction que nous bénissons [ pendant le mémorial annuel de la mort du Christ à la Pâque ], n’est-elle pas la communion au sang de Christ? Le pain que nous rompons [ à la Pâque ], n’est-il pas la communion au corps de Christ? […] Que dis-je donc? Que la viande sacrifiée aux idoles est quelque chose, ou qu’une idole est quelque chose? Nullement. Je dis que ce qu’on sacrifie, on le sacrifie à des démons, et non à Dieu; or, je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons. Vous ne pouvez boire la coupe du Seigneur, et la coupe des démons; vous ne pouvez participer à la table du Seigneur, et à la table des démons […] »
Le culte des dieux païens et la participation à ses coutumes sont décrits dans la Bible comme culte de démon. Et pour présenter les rites païens, qui pourraient dans certains cas ressembler aux pratiques chrétiennes, dans le vrai culte de Dieu, est identifiés avec l’idolâtrie. Satan savait que Dieu enverrait Jésus-Christ à mourrir pour l’humanité. Beaucoup d’écritures de l’Ancien Testament prédisent dans les moindres de détail la première venue de Christ.
La stratégie de Satan pour opposer à Dieu était double. D’abord, il a influencé des personnes pour créer un mythe universel d’un sauveur païen qui serait adoré sous différents noms, et qui aurait quelques similitudes avec Jésus-Christ et ce qu’Il accomplirait, de sorte que les gens pourraient plus tard regarder le Christ en tant qu’un “autre” Libérateur. Beaucoup d’historiens croient que le mythe universel de Satan a commencé par Nimrod de la Bible dans Genèse 10:8-12. La légende dit que ce “vaillant chasseur” a épousé sa propre mère Sémiramis. Lorsqu’il mourut, Satan a inspiré Sémiramis à inventer et répandre l’idée que Nimrod était encore vivant comme être d’esprit. Elle a prétendu qu’un arbre à feuilles persistantes a surgi d’une souche morte durant la nuit, et que Nimrod rendrait visite à l’arbre et y laisserait des cadeaux chaque anniversaire de sa naissance, le 25 décembre. Une version légèrement différente de ce récit est que l’arbre à feuilles persistantes a symbolisé prétendument le fils de Nimrod Thammuz, et que Nimrod est revenu à la vie comme Thammuz. Plus tard, Sémiramis est devenu notoire et était adoré sous différents noms en tant que “reine du ciel.”
La deuxième partie de la stratégie de Satan pour opposer à Dieu était assurer ceux qui croient en et suivent Jésus-Christ, le fils de Dieu, seraient bombardés des aspects [ déjà existant ] des religions païennes, les incitant à absorber ceux “en l’honneur et la gloire du Christ.” Tristement, au cours des siècles, beaucoup qui ont prétendu être chrétiens, sont tombés pour les tactiques et les complots méchants de Satan par l’incorporation de certains doctrines, coutumes et rites païens dans leur culte de Dieu.
CONTRE-ARGUMENTS DE L’ESPRIT CHARNEL
Certains peuvent répondre en disant, “Et alors? Pourquoi pas fêter le Noël en tout cas? Bien que Noël soit une fête païenne et ses coutumes soient à l’origine des païens, je le fais pour honorer le Christ. Bien que la Bible ne nous ordonne pas de la célébrer, Dieu nous donne-t-Il la liberté pour célébrer l’anniversaire de Son Fils lorsque nous voulons? Et en suite, si nous n’aimons pas le “paganisme” associer à Noël, pourquoi pas célébrer Noël simplement en l’honneur du Christ, tout en laissant toutes les coutumes païens à côté?”
Oui, nous les humains pouvons proposer toutes sortes de raisons de garder nos traditions et croyances. Nous voulons d’une façon ou d’une autre justifier nos actions plutôt qu’accepter la vérité du sujet, et il devient promptement évidente que nos croyances sont fortement incorporées dans nos coutumes. Nous ne renonçons pas facilement, même lorsque nous avons tort.
Par exemple, nous savons que Noël est devenu totalement commercialisé, et on continue la célébrer grâce au commerce. Comme U.S. News & World Report précise dans son article du 23 décembre, 1996, page 64 : « Transformer Noël en célébration complètement religieuse maintenant pourrait encourager ceux qui veulent “reprendre Noël.” […] Mais une telle observance ‘manquerait de la résonance et de l’impact culturels d’une fête bien enracinées au marché.’ Si Noël arriverait à cela […] nous ne le célébrions pas probablement en tant qu’une société.’ »
Et, alors que Noël soit reconnu comme un temps de “paix sur la terre aux hommes de bonne volonté,” c’est un fait bien connu que Noël est la période de l’année dans le monde occidental lorsque plus de crimes sont commis qu’à n’importe quelle autre période. C’est une période où l’alcoolisme règne. C’est une période où le commerce atteint sa pointe de conduite et de comportement illogiques et irresponsables, et les gens contractent les dettes de carte de crédit qu’ils ne peuvent jamais rembourser, seulement pour satisfaire leur “obligation” de donner des cadeaux aux autres. Les parents mentent à leurs enfants, en leur disant que le Père Noël viendra par la cheminée pour apporter des cadeaux de Noël, et s’ils ne se comportent pas, le Père Noël ne leur apportera aucun cadeaux.
Nous savons ce que le monde indique au sujet de Noël, mais que Dieu dit-Il au sujet de cette célébration? Bien que le mot “Noël” ne soit jamais employé dans la Bible, y a-t-il des directives et des principes pour savoir évaluer ce sujet? Absolument! Voyons!
NE MÉLANGEZ PAS LES COUTUMES PAÏENS AVEC L’ADORATION DE DIEU!
Savez-vous que vous pouvez être sincère dans votre adoration de Dieu et du Christ, et Les adorer toujours en vain? Le Christ dit clairement dans Matthieu 15:7-9: «Hypocrites, Ésaïe a bien prophétisé sur vous, quand il a dit: Ce peuple m’honore des lèvres, Mais son coeur est éloigné de moi. C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements d’hommes. » Quipeut douter que la célébration de Noël et l’observance de ses coutumes sont suivant aux commandements d’hommes? La Bible ne nous ordonne nulle part de faire ces choses! Et le Christ nous a dit, cegenre de culte religieux qui est basé sur des traditions d’hommes est “en vain” – c’est futile. Plutôt, nous sommes expressément dits comment rendre un culte à Dieu.
Notez ce que Dieu a dit à Israël à propos de comment et comment pas L’adorer comme écrit dans Deutéronome 12:29-32 : « Lorsque l’Éternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser devant toi, lorsque tu les auras chassées et que tu te seras établi dans leur pays, garde-toi de te laisser prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant toi. Garde-toi de t’informer de leurs dieux et de dire: Comment ces nations servaient-elles leurs dieux? Moi aussi, je veux faire de même. Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Éternel, ton Dieu; car elles servaient leurs dieux en faisant toutes les abominations qui sont odieuses à l’Éternel […] Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. »
La célébration de Noël et de la naissance du Christ en général transgressent clairement la commande précédente. La date et le festival mêmes de Noël étaient adoptés du paganisme, et aussi bien ses coutumes. Des chrétiens prétendants qui célèbrent Noël aujourd’hui peuvent penser qu’ils le font pour honorer et rendre culte à Dieu – mais ils répètent exactement les rites que les païens employaient pour servir leurs dieux – et Dieu tonne à nous : « Tu n’adoreras pas le Seigneur ton Dieu de cette façon!!! » Ils ont ajouté des célébrations de Noël à leur culte, tout en enlevant l’observance de véritables jours saints annuels de Dieu.
Notez les commentaires de la Ryrie Study Bible en ce qui concerne le passage dans Deutéronome 12: 30 : « L’Israelites n’étaient pas s’informer du culte des Cananéns, de peur qu’ils soient tentés d’en incorporer des aspects à leur culte de Dieu. »
Qui peut honnêtement nier que c’est exactement ce qui s’est produit en vue des célébrations de Noël? Le christianisme orthodoxe a adopté ou a incorporé des fêtes païennes telles que Noël et Pâques, plutôt que les supprimer. Ils ont assimilés les coutumes païens à l’adoration de Jésus-Christ, plutôt que les rejeter et renverser. Cette pratique est appelé le “syncrétisme” et l’est fortement interdite dans les Écritures. Dieu nous dit de ne pas s’en engager, mais de nous débarrasser de tout qui est païen.
Remarquez ce qui est écrit dans 2 Corinthiens 6:14-17 : « Ne vous mettez pas avec les infidèles sous un joug étranger. Car quel rapport y a-t-il entre la justice et l’iniquité? ou qu’y a-t-il de commun entre la lumière et les ténèbres? […] Quel rapport y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles? Car nous sommes le temple du Dieu vivant […] C’est pourquoi, Sortez du milieu d’eux, Et séparez-vous, dit le Seigneur; Ne touchez pas à ce qui est impur [spirituellement], Et je vous accueillerai. »
GÂTEAUX DE NOËL CONDAMNÉS DANS L’ÉCRITURE
Par exemple, remarquez des condamnations par Dieu d’une coutume religieuse que l’ancien Israël et Juda participaient, comme écrites dans Jérémie 7:16-18: « Et toi, n’intercède pas en faveur de ce peuple, N’élève pour eux ni supplications ni prières, Ne fais pas des instances auprès de moi; Car je ne t’écouterai pas. Ne vois-tu pas ce qu’ils font dans les villes de Juda Et dans les rues de Jérusalem? Les enfants ramassent du bois, Les pères allument le feu, Et les femmes pétrissent la pâte, Pour préparer des gâteaux à la reine du ciel, Et pour faire des libations à d’autres dieux, Afin de m’irriter. »
La “Reine du Ciel” a été identifiée en tant que déesse Assyro-Babylonienne Ishtar ou Istar (Ryrie Study Bible et Rienecker’s Lexikon zur Bibel, tous les deux faisant leurs remarques au sujet de Jérémie 7:18), duquelle le nom “Pâques” est dérivé. En fait, Ishtar n’est qu’un autre nom de Sémiramis, la mère/femme de Nimrod. Bien qu’une référence principalement aux coutumes de Pâques, ceverset inclut également la confection des gâteaux de Noël. Comme nous avons vu précédent, cette coutume avait lieu longtemps avant n’importe quelle célébration “chrétienne” de Noël, et elle était fêté pour honorer des déités païennes.
ARBRE DE NOËL CONDAMNÉ DANS L’ÉCRITURE
Constatons également Jérémie 10:2-5 : « Ainsi parle l’Éternel: N’imitez pas la voie [La Lamsa Bible la traduite comme “religion”] des nations, Et ne craignez pas les signes du ciel, Parce que les nations les craignent. Car les coutumes des peuples ne sont que vanité. On coupe le bois dans la forêt; La main de l’ouvrier le travaille avec la hache; On l’embellit avec de l’argent et de l’or, On le fixe avec des clous et des marteaux, Pour qu’il ne branle pas. Ces dieux sont comme une colonne massive, et ils ne parlent point; On les porte, parce qu’ils ne peuvent marcher. Ne les craignez pas, car ilsne sauraient faire aucun mal, Et ils sont incapables de faire du bien. »
Ici nous trouvons une description de l’arbre de Noël. Certains ont indiqué, cependant, que Jérémie 10 ne parle qu’une idole en bois qui a été découpée dans un arbre, mais qu’elle ne se rapporte pas à orner un arbre de Noël lui-même. Rappelez-vous, cependant, que les païens croyaient que leurs dieux – Attis, Osiris, Dionysus – ont vécu comme espirits dans des arbres de pin. Ils croyaient que leurs dieux ont réellement changé en ces arbres, et ils portaient ces arbres sacrés à une édifice consacré au culte, les ont décorés, et les adoraient comme déitiés.
Jérémie 10 condamne n’importe quel genre de culte religieux qui inclut la décoration d’un arbre de pin ou d’un “arbre vert” (1 Rois 14:23), aussi bien que les doctrines religieuses liées à telles coutumes. Lamsa poursuit dans Jérémie 10:8 : « Mais tout à fait les doctrines vaines du culte d’image en bois seront complètement détruites et consommées. »
Certains disent qu’ils n’adorent pas l’arbre de Noël, et qu’il est, donc, d’accord d’orner un arbre de pin à Noël. Cependant, ce n’est pas comment Dieu le regarde. Lorsque les Israëlites a fait un veau d’or, ils se disputaient d’une façon semblable. Nous lisons dans Exode 32:1-5 : « Le peuple, voyant que Moïse tardait à descendre de la montagne, s’assembla autour d’Aaron, et lui dit: Allons! fais-nous un dieu qui marche devant nous, car ce Moïse, cet homme qui nous a fait sortir du pays d’Égypte, nous ne savons ce qu’il est devenu. Aaron leur dit: Otez les anneaux d’or qui sont aux oreilles de vos femmes, de vos fils et de vos filles, et apportez-les-moi. Et tous ôtèrent les anneaux d’or qui étaient à leurs oreilles, et ils les apportèrent à Aaron. Il les reçut de leurs mains, jeta l’or dans un moule, et fit un veau en fonte. Et ils dirent: Israël! voici ton dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Égypte. Lorsqu’Aaron vit cela, il bâtit un autel devant lui, et il s’écria: Demain, il y aura fête en l’honneur de l’Éternel! »
Les Israëites ont employé l’idole païenne d’un animal pour rendre un culte à Dieu. Ils ne croyaient que Dieu a ressemblé à un veau, mais ils l’employaient comme objet d’un culte dans leur adoration de Dieu, pensant qu’il a représenté Dieu d’une façon ou d’une autre. Ils ont cru qu’ils adoraient Dieu – après tout, ils célébraient une fête à l’Éternel – et, que leur utilisation d’un objet païen d’un culte semblait acceptable à Dieu. La même chose peut être dire au sujet de l’arbre de Noël comme décrit dans Jérémie 10. Cet arbre avec son or, son argent et ses décorations bleues et pourpres (Jérémie 10:9) – aujourd’hui, nous pourrions ajouter les “guirlandes argentées de Noël” – étaient employées en tant que les moyens ou l’objet d’un culte pour adorer Dieu. Mais, c’est exactement ce que Dieu condamne.
Lorsque les Israëlites, à l’époque de Moïses, ont fait le veau d’or, ils ont inventé leurs propres objets et moyens d’un culte, aussi bien que la date pour leur fête religieuse. Ils avaient évidemment adopté ces rites de culte de leur séjour en Egypte païenne. Mais, Dieu n’a pas accepté ce genre d’adoration, ni fait-Il aujourd’hui. À Ses yeux, ils se sont corrompus (Exode 32:7) et ils ont rendu un culte au veau, non pas à Dieu (Exode 32: 8) Dieu est un Dieu jaloux. Il insiste qu’Il soit adoré de la manière qu’Il nous a présenté. Autrement, notre adoration ne sera pas acceptée – elle sera futile et en vain (Mark 7:5-9, 13).
LE CHRIST POURRAIT-IL AVOIR ÉTÉ NÉ EN DÉCEMBRE?
Nous avons établi beaucoup de faits qui prouvent que la fête que nous appelons “Noël” était réellement célébrée par diverses cultures pendant des milliers d’années avant la naissance de Jésus-Christ. Nous avons lu des citations de diverses publications qui présentent audacieusement les racines païennes de Noël, avec les coutumes relatives, qui sont totalement indépendantes du Christ. Mais, même s’il était acceptable de célébrer l’anniversaire du Christ [ dont il n’est pas ], savons-nous lorsqu’Il est né?
Nous citerons encore du professeur J.M. Golby, l’historien britannique, co-auteur du livre intitulé, “The Making of the Modern Christmas.” Dans l’entrevue télévisée mentionnée ci-dessus, en 1991, il a fait des commentaires et des observations perspicaces suivants en ce qui concerne l’origine de Noël et ses coutumes :
« L’église chrétienne était toujours très intelligente en incorporant d’autres pratiques et en soutenant des choses et puis en les transforment vers le christianisme. Et à l’époque païenne vous aviez des festivals mi-hivernal, et vous aviez les fêtes religieuse qui étaient païennes et beaucoup associées aux choses comme le coucher du soleil. Et pendant l’hiver il se couchait – retournerait-il jamais? Etainsi vous avez eu un jour l’où vous célébriez le soleil. Et la religion mithriaque, qui était très importante dans l’empire romain plus tard, a eu un jour particulier qui le célébrait. Et il se trouve qu’elle coïncide avec le 25 décembre, que l’église chrétienne alors a adoptée comme jour de naissance du Christ […] Il n’y a rien dans les évangiles de prouver que le Christ est né le 25 décembre. En fait, il est clair qu’il n’aurait pas été. Il n’y aurait pas eu des bergers dans les champs. Il est la mauvaise saison de l’année […] »
En plus du fait que les bergers n’auraient pas été dans les champs le 25 décembre, il y a une autre raison pour laquelle le Christ ne pourrait avoir été né autour du 25 décembre. Dr. Cunningham Geikie discute cette raison additionnelle dans le journal Holy-Days and Holidays, sous l’article intitulé, “Christmas at Bethlehem.” Il écrit : « Le vingt-cinquième jour de décembre […] a peu en sa faveur [ pour la date du nativité du Christ ] au delà du fait que c’était le jour l’où, dans l’antiquité, le retour du soleil de son absence hivernale a été célébré […] Il pourrait à peine avoir eu lieu à cette saison, cependant, car une telle époque n’aurait pas été sûrement choisie par les autorités pour une inscription publique, qui a rendu nécessaire le voyage de la population de partout à sa ville natale, l’orage et la pluie rendant des voyages périlleux et désagréables en hiver […] »
Le fait que les bergers vivaient dans les champs (voir Luc 2:8) et qu’une inscription publique a été conduite à l’époque de la naissance de Christ (voir Luc 2:1-7) prouvent clairement que le Christ ne pourrait avoir été né n’importe où près du 25 décembre. Les brebis n’étaient jamais dans les champs pendant les mois d’hiver. Du milieu d’octobre jusqu’au milieu de mars, les brebis seraient restés à l’intérieur, dans les écuries ou les granges. Pendant ce temps, il y avait trop de pluie, de vent et même de gel et de neige.
Le journal Wynne Progress a édité un article le 21 décembre, 1967, intitulé, “The Christmas Story,” dans lequel il a précisé de nombreuses contradictions entre le récit biblique et les traditions de Noël. Il a énoncé : « Quant à la date de 25 décembre, qui a été choisi par l’église pendant le quatrième siècle apr. J-C […] Le choix semble avoir été dicté […] par un désir de christianiser les festivités romaines qui a marquées le solstice d’hiver. L’évidence biblique indique simplement que Jésus naquit pendant la fin de l’été ou au début de l’autumn. C’est la saison de l’année où les bergers palestiniens accompagnent leur troupeau au champ pour pâturer l’herbe à nuit. »
Vérifiez n’importe quel diagramme de l’année d’Israëlite. Elle montrera que le septième mois, le mois de Tishri, dans septembre/octobre, termine avec le début de la saison des pluies. Pendant le huitième mois, le mois de Marcheschwan, dans octobre/novembre, le temps est “pluvieux.”
Le neuvième mois, Chislev, dans novembre/décembre, marque le début de l’hiver, avec la pluie et la neige. Le Christ a indiqué clairement qu’une fuite de son Église ne devrait pas arriver en hiver [voir Matthieu 24: 20], car il serait très désagréable, à cause des temps mauvais. La Cantique des Cantiques 2:11 lit : « Car voici, l’hiver est passé; La pluie a cessé […] » Remarquez également Esdras 10:9, 13 : « Tous les hommes de Juda et de Benjamin se rassemblèrent à Jérusalem dans les trois jours. C’était le vingtième jour du neuvième mois. Tout le peuple se tenait sur la place de la maison de Dieu, tremblant à cause de la circonstance et par suite de la pluie. Mais le peuple est nombreux, le temps est à la pluie, et il n’est pas possible de rester dehors […] »
En conclusion, le dixième mois, Tebeth, dans décembre/janvier, est désigné comme “mois le plus froid de l’année, avec la grêle et la neige.” Il n’y a aucune possibilité que le Christ pourrait avoir été né à fin décembre, pendant qu’une inscription publique avait lieu, et pendant que les bergers et les brebis passaient la nuit dehors dans les champs. Même s’il ne neigeait pas à ce moment-là, le temps froid et la pluie l’auraient rendu impossible pour les bergers et les brebis être dans les champs pendant la nuit. De plus, les autorités romaines n’auraient pas choisi cette période d’année pour une inscription publique. Plutôt qu’avoir été né en hiver, il est probable, comme précisé précédent, que le Christ soit né à la fin de l’été ou au début de l’automne.
Mais alors – le Christ nulle part n’a enseigné que nous devrions même célébrer Sa naissance – et certainement non pas à Noël – et absolument pas avec des coutumes, des rites et des concepts païens.
N’AJOUTEZ PAS NI RETRANCHER DE LA PAROLE DE DIEU!
Moïses a rappelé à l’ancien Israël d’un principe éternel lorsqu’il se réfère à la vraie adoration. Nous lisons dans Deutéronome 4:1-2 : « Maintenant, Israël, écoute les lois et les ordonnances que je vous enseigne. Mettez-les en pratique, afin que vous viviez, et que vous entriez en possession du pays que vous donne l’Éternel, le Dieu de vos pères. Vous n’ajouterez rien à ce que je vous prescris, et vous n’en retrancherez rien; mais vous observerez les commandements de l’Éternel, votre Dieu, tels que je vous les prescris. » (voir Deutéronome 12:32 et Apocalypse 22:18-19).
Nous trouvons la même réprimande dans Proverbes 30:5-6: « Toute parole de Dieu est éprouvée. Il est un bouclier pour ceux qui cherchent en lui un refuge. N’ajoute rien à ses paroles, De peur qu’il ne te reprenne et que tu ne sois trouvé menteur. »
“L’histoire de Noël” entière est un mensonge et une tromperie, créée par les hommes sous l’influence de Satan, qui est le père des mensonges (Jean 8:43-45). Ainsi si nous affirmons que Noël est une fête qui honore Dieu, puis nous ajoutons à la parole de Dieu, qui n’a rien à dire au sujet de la célébration de Noël. Dieu nous reprochera, et nous serons trouvés les “menteurs,” puisque nous avons donné une impression incorrecte de Dieu.
Remarquons également comment l’apôtre Paul s’addressait les chrétiens à Corinthe. Rappelez-vous, que les Corinthiens avait été associés, avant leur conversion, avec toutes sortes de coutumes païennes, y compris le culte d’un arbre spécial de pin. Paul s’en rendait compte sans aucun doute. Et ainsi il leur dit dans 1 Corinthiens 4:6 : « C’est à cause de vous, frères, que j’ai fait de ces choses une application à ma personne et à celle d’Apollos, afin que vous appreniez en nos personnes à ne pas aller au delà de ce qui est écrit. »
Maintenant, frères, je me suis appliqué ces choses à moi et à Apollos pour votre avantage, de sorte que vous puissiez apprendre de nous la signification de l’énonciation, à ne pas aller au delà de ce qui est écrit. (NIV)
Un rappel semblable est écrit dans la deuxième lettre de Jean. Il énonce, verset 9 :
« Pour si vous errez au delà de l’enseignement du Christ, vous laisserez Dieu derrière; tandis que si vous êtes fidèle aux enseignements de Christ?s, vous aurez Dieu aussi. » (Living Bible).
Ceux qui fêtez Noël “vont au delà de ce qui est écrit,” et “errent au delà de l’enseignement du Christ,” donc laissant “Dieu.”
LA CONCLUSION DU DISCOURS
Nous vous avons donné les vraies origines de Noël et ses coutumes, et nous avons prouvé de la Bible que Dieu condamne les célébrations de Noël. En sachant ceci, demandez-vous, “Devrais-je célébrer Noël?” Nous nous sentons que la réponse est évidente. La décision, cependant, est à vous à faire (voir Deutéronome 30:15-16, 19-20). Vous avez entendu la conclusion du discours (Ecclésiaste 12:13). Ns vous provoquons d’agir.